Dette technique

le risque caché qui freine l’innovation dans vos applications métiers 

Chez Nat System, nous accompagnons chaque jour des organisations qui souhaitent accélérer leur transformation digitale.  

Mais un obstacle invisible revient souvent : la dette technique.  

Faisons le point sur ce sujet clé pour l’avenir de vos applications métiers. 

 

1. Qu’est-ce que la dette technique ? 

La dette technique, si elle n’est pas maîtrisée, expose votre organisation à plusieurs risques majeurs :

– Montée en flèche des coûts de maintenance et de support

– Sécurité fragilisée (vulnérabilités non corrigées)

– Perte d’agilité et ralentissement de l’innovation

– Insatisfaction des équipes de développement et turnover accru

 

Investir dans la réduction de la dette technique, c’est investir dans la pérennité et la compétitivité de vos systèmes ou applications.

2. Quelles sont ses causes ? 

 

La dette technique est souvent le résultat d’un arbitrage entre rapidité, budget, exigences métier et qualité technique.  

Voici les principales causes identifiées : 

  •  Pression sur les délais 

La nécessité de livrer rapidement des fonctionnalités pousse souvent les équipes à privilégier la rapidité au détriment de la qualité. Cela se traduit par des compromis sur les bonnes pratiques de développement, générant ainsi de la dette technique. 

  • Exigences floues  

Des besoins mal définis, incomplets ou fréquemment modifiés conduisent à des solutions techniques provisoires ou inadaptées, qui devront être corrigées ou refondues par la suite. 

  • Absence de maintenance régulière 

Le manque de mises à jour, de refactoring ou d’évolution des technologies employées entraîne l’accumulation de composants obsolètes, de failles de sécurité et de limitations techniques. 

  • Documentation insuffisante 

Négliger la documentation technique rend la compréhension, la maintenance et la transmission du projet beaucoup plus complexes, surtout lors des changements d’équipe. 

  • Manque de tests 

L’absence de tests automatisés ou de revues de code favorise l’introduction d’erreurs non détectées, qui s’accumulent et alourdissent la dette technique. 

  • Manque de compétences ou de communication 

Un manque de communication entre les équipes techniques et métiers, ou encore l’absence de compétences adaptées, peut conduire à négliger les aspects techniques au profit d’objectifs à court terme. 

3. Quels sont les risques ?  

L’adoption de solutions de test de non-régression automatisées pour les logiciels métiers apporte des avantages majeurs. Parmi lesquels: 

► Fiabilité et qualité des logiciels accrues 

 L’automatisation des tests permet d’identifier rapidement les défauts/bugs et d’assurer un niveau de qualité élevé tout au long du cycle de développement. Les logiciels livrés sont ainsi plus robustes et plus fiables. 

► Détection précoce des anomalies  

 Les erreurs sont repérées dès les premières phases de test, ce qui limite leur propagation et facilite leur correction avant la mise en production. 

► Réduction des coûts opérationnels   

En détectant les anomalies plus tôt, les coûts liés à la correction des bugs en production diminuent significativement. De plus, l’automatisation réduit le besoin en ressources humaines pour les phases de test, optimisant ainsi l’efficacité globale du processus de développement. 

 

4. Comment la gérer efficacement ?   

La dette technique est inévitable, mais elle doit être gérée activement en :

– Identifiant et documentant les dettes techniques critiques (outils comme SonarQube, Jira, Confluence)

– Priorisant les dettes selon leur impact business et leur urgence

– Intégrant la gestion de la dette dans la roadmap et réserver du temps dans chaque sprint pour la réduire (refactoring, tests, documentation)

– Adoptant certaines pratiques : code review, pair programming, tests automatisés, architecture modulaire

– Formant les équipes à la qualité logicielle et à l’amélioration continue.

 

5. Notre approche   

En tant qu’éditeur d’applications métiers et société de conseil informatique spécialisée dans ce domaine, Nat System audite, conseille et modernise vos applications afin de transformer la dette technique en un véritable moteur de progrès, et non en un frein à l’innovation.
Nous vous accompagnons pour :

Évaluer et cartographier précisément l’état de votre dette technique

Définir une stratégie de réduction progressive, adaptée à vos enjeux métiers

Mettre en place les outils et processus nécessaires pour garantir durablement la qualité de vos applications

Découvrez ci-dessous quelques-uns des leviers sur lesquels nous pouvons vous accompagner.

5.1. Montées de versions pour NatStar, NS-DK et projets Java/Angular   

a) Montées de version pour les applications NatStar et NS-DK 

Chez Nat System, nous proposons régulièrement des montées de version pour nos produits NatStar et NS-DK afin de garantir la sécurité et la performance de vos applications métiers, notamment de :

Supporter la nouvelle version de base de données et de la version d’OS

Bénéficier des améliorations de sécurité (nouvelle version d’OpenSSL ou nouveau runtime Microsoft C).

 

b) Montées de version pour les applications Java et Angular

En parallèle de nos solutions propriétaires, nous accompagnons vos projets d’application métier Java et Angular dans la gestion de leur dette technique par la mise à jour régulière des frameworks, librairies et environnements d’exécution. 

Cela comprend : 

– La migration vers les dernières versions LTS de Java (par exemple Java 21) pour bénéficier des améliorations de performance et de sécurité. 

– La mise à jour des dépendances et frameworks (Spring Boot, Hibernate, Angular, etc.) pour garantir la compatibilité, la correction des vulnérabilités et l’accès aux nouvelles fonctionnalités. 

– L’intégration de tests automatisés (JUnit, Jest, Cypress) et d’outils d’analyse de code (SonarQube) pour surveiller et réduire la dette technique au fil de l’eau. 

 

 

5.2 Nos autres leviers pour combler la dette technique 

Audit de code et d’architecture : réalisation d’audits approfondis pour identifier les points critiques, les faiblesses structurelles et les axes d’optimisation. 

Refactoring progressif : planification et exécution de refactoring ciblés pour améliorer la lisibilité, la modularité et la maintenabilité du code sans interrompre l’activité. 

Mise en place de CI/CD : automatisation des processus de build, de test et de déploiement pour accélérer les cycles de livraison et fiabiliser les mises en production. 

Formation et coaching des équipes : sensibilisation aux bonnes pratiques de développement (écriture d’un code « durable »), à l’écriture de tests, à la documentation et à l’amélioration continue. 

Décommissionnement des composants obsolètes : identification et remplacement des modules ou dépendances non maintenus ou vulnérables. 

Modernisation applicative : migration vers des architectures plus modernes (microservices, cloud, conteneurisation) pour gagner en agilité et en scalabilité. 

Gestion proactive de la documentation : mise à jour et centralisation de la documentation technique pour faciliter la transmission et la maintenance. 

 

Grâce à ces actions combinées, nous aidons nos clients à transformer la gestion de la dette technique en un véritable levier de compétitivité et d’innovation durable. 

 

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